Il ne monte pas sur scène, il ne prend ni le micro ni instrument de musique, mais tout le monde voit son travail. Vous aurez compris (ou pas d’ailleurs) que nous parlons du métier de graphiste.
Le plus extraordinaire, c’est que chaque édition de Fi’Jazz fait appel à un nouveau ou une nouvelle graphiste. 4ᵉ édition de Fi’Jazz = 4ᵉ graphiste. Cette année, nous pouvons applaudir bien fort Jean-Luc Oriol et son soutien, Louise Oriol.
Merci à celles et ceux qui, dans l’ombre, valorisent ce magnifique festival de jazz.
Maria KAMAY